Le Portugal affronte le Chili ce mercredi en demi-finale de la Coupe des Confédérations
Cette fois on ne rigole plus, demain (mercredi) le Portugal va disputer les demi-finales de la Coupe des Confédérations face au Chili, un adversaire qui impose le respect, qui plus est, la Seleção sera diminuée avec des absences qui se feront certainement ressentir... 
 
Les dieux du football nous ont dicté le Chili pour adversaire lors de ces demi-finales, un adversaire qui ne sera certainement pas facile à jouer. 
 
En effet, les Chiliens sont les vainqueurs de la dernière Copa America en 2015 et de sa version centenaire en 2016. 
 
Pizzi, sélectionneur de la " Roja",  qui connait bien le football portugais pour avoir joué au FC Porto, dispose de nombreux joueurs de renommée, dont les plus connus sont certainement Alexis Sanchez, Arturo Vidal, Eduardo Vargas,Gary Medel et Claudio Bravo et compte bien aller au bout de cette Coupe des Confédérations
Mais pour cela, les champions d'Amérique devront se défaire des champions d'Europe
 

Le Portugal diminué 

 
C'est officiel, Raphaël Guerreiro ne sera pas remis à temps d'affronter le Chili demain et Pepe sera également absent après avoir reçu un deuxième jaune ( inutile) face à la Nouvelle-Zélande, des absences de poids dans la défense Portugaise qui s'en ressentira certainement, a l'heure d'affronter Alexis Sanchez et compagnie. Si on ajoute à cela, la plus que probable absence de Bernardo Silva, on peut clairement dire que le Portugal ne pourra présenter ses meilleurs joueurs face aux Chiliens
 
Mais la Seleção à d'autres surprises dans son sac et on peut faire confiance à Fernando Santos pour nous concocter un onze qui sera de toute façon largement à la hauteur d'affronter les champions d'Amérique Latine. Un onze qui ne devrait pas être très loin de celui-ci: 
 
Rui Patricio dans les buts, Cédric, Bruno Alves, José Fonte et Eliseu en défense, un milieu de terrain avec William, Adrien, André Gomes et Quaresma ou Nani pour servir l'attaque qui sera certainement composée du duo Ronaldo - André Silva
 
Et comme dit Fernando Santos, peu importe la manière, ce que l'on veut c'est que la Seleção ne rentre pas au pays avant le 2 juillet sans le trophée en main.